S’il ne fallait qu’un seul chiffre

97,5 % du volume extrait par des pelleteuses lors d’un chantier en tranchée ouverte n’est pas utile !

Une sacrée différence d’efficacité qui illustre à elle-seule l’enjeu du développement des techniques sans tranchée.

Derrière, se cachent des problématiques extrêmement fortes de développement durable, de maintien du tissu économique et des services aux usagers durant les chantiers longs, ou encore du coût global des travaux.

On appelle “sans tranchée” les techniques utlisées pour la pose, la réhabilitation, l’auscultation et le diagnostic de réseaux enterrés de toute nature, sans ouvrir de tranchée.

En France 600 entreprises posent des canalisations
Elles emploient 30 000 salariés et ont un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros.

Ces 600 entreprises posent des canalisations pour 4 grandes catégories de clients :

  1. les collectivités locales qui sont les principaux clients (communes, syndicats départements, régions, …)
  2. les entreprises publiques (EDF, GDF, France Telecom…),
  3. le secteur privé (essentiellement des industriels ou la grande distribution),
  4. l’État.

En France 97% de ces travaux de canalisations se fait encore en creusant des tranchées.

Les techniques sans tranchée, un ensemble de solutions modernes et économiques qui minimisent les nuisances des chantiers. C’est l’autre façon de faire les travaux.

Schéma sans tranchée

40 techniques sans tranchée existent pour :

  • voir dans le sous-sol

  • construire des canalisations neuves

Microtunnelage

Forage dirigé

  • réparer des canalisations défectueuses

Intervention ponctuelle sur une canalisation

Chemisage

TRAVAUX NEUFS

TECHN. DESCRIPTIF ILLUSTRATIONS
Fusée

pneumatique

Un marteau pneumatique frappe à l’intérieur d’un cylindre creux et le fait avancer, réalisant un tunnel par compression du sol. Une canalisation ou un fourreau de diamètre 45 à 300 mm peut ensuite être posée sur une distance de 5 à 25 m. Non-dirigeable, elle peut être équipée d’une sonde de localisation.
Fonçage de

tube ouvert

Un train de tubes creux est enfoncé dans le sol à l’aide d’un “marteau pneumatique” (ou de vérins). La tête est munie d’une “trousse” coupante. Les tubes en acier sont soudés à l’avancement.
Forage à

la Tarière

Un tube acier est poussé dans lequel une tarière assure l’excavation et une vis sans fin l’évacuation des délais. Cela permet de poser les canalisations de 5 à 80 m mais aussi des branchements de petit diamètre. La technique peut être complétée par un système de préguidage.
Forage

horizontal

dirigé

Dérivée du forage vertical, cette technique de pose est réalisée en trois phases :
– Un forage pilote est poussé dans le sol, sa tête biseautée permet de la diriger avec une précision centimétrique.
– Des alésages successifs sont effectués afin d’agrandir le trou pilote jusqu’à la dimension souhaitée (supérieure au diamètre de la conduite à installer)
– La canalisation préalablement assemblée en surface est tirée dans le trou alésé.
Un fluide de forage, aide à creuser, évacue les déblais, lubrifie le tube.
Microtunnelier L’abattage du terrain est réalisé en tête, par un microtunnelier derrière lequel sont assemblé les tubes qui constituent le tunnel.
La progression du microtunnelier est assurée depuis la fouille de départ à l’aide d’un banc de poussée dont les verins prennent appui sur l’arrière du puits
Direct Pipe Un tube acier est poussé dans lequel une tarière assure l’excavation et une vis sans fin l’évacuation des délais. Cela permet de poser les canalisations de 5 à 80 m mais aussi des branchements de petit diamètre. La technique peut être complétée par un système de préguidage.

REHABILITATION

TECHN. DESCRIPTIF ILLUSTRATIONS
Tubage Introduction d’une nouvelle conduite dans l’ancienne qui sert de fourreau
Par tuyau continu avec espace annulaire Tubage par introduction d’un tuyau continu d’un diamètre inférieur à celui de la canalisation à réhabiliter. Cette technique provoque une réduction de diamètre.
Par tuyau continu sans espace annulaire Différentes techniques permettent de placer une nouvelle conduite dans l’ancienne avec maintien du diamètre. Pour les petits diamètres, la nouvelle conduite subit une réduction du diamètre avant introduction et reprend sa forme par pression d’air ou chauffage (vapeur).
Par tuyaux  courts avec espace annulaire Tubage réalisé à l’aide de tuyaux courts assemblés un à un pendant l’insertion.
Par éclatement Cette technique permet de remplacer une conduite par une nouvelle de plus gros diamètre, par éclatement et refoulement latéral de l’ancienne conduite. L’éclateur est soit tiré soit poussé et peut être précédé d’un outil de coupe adapté pour certains matériaux. Utilisable pour des diamètres compris entre 50 et 900 mm.
Par enroulement hélicoïdal Tubage avec une bande profilée enroulée en spirale pour former un tuyau continu après installation.
Par injection de coulis à coffrage perdu Tubage obtenu par injection de coulis de ciment structurant dans l’espace annulaire d’un coffrage plastique interne définitivement ancré au coulis.
Chemisage continu polymérisé en place Tubage réalisé avec une chemise souple imprégnée d’une résine thermodurcissable produisant un tuyau après polymérisation de la résine.
Chemisage par projection ou coulée en place Application manuelle ou mécanique (à l’aide d’un robot, par exemple) d’un matériau hydraulique ou polymère, avec ou sans renfort, directement sur le surface interne du collecteur d’accueil et/ou d’un regard de visite
Chemisage par remplissage au coulis Remplissage des vides dans le collecteur existant et/ou le sol environnant par injection de coulis sur une partie ou la totalité du périmètre du collecteur.
Chemisage par injection d’étanchement Colmatage d’une fuite au niveau d’une fissure, d’un assemblage ou d’un branchement par injection de résine ou de coulis, avec ou sans l’aide d’un manchon.
Chemisage avec un matériau taloché Réparation de défauts structurels locaux sur une partie de la section du branchement ou du collecteur, en appliquant et talochant manuellement ou mécaniquement des matériaux directement sur la paroi ou dans le défaut de l’ouvrage existant.
Réparations Intervention locale sur la canalisation à réhabiliter
Extraction de branchement L’extraction par traction consiste à introduire un câble dans la conduite jusqu’à une tête de tirage sur laquelle est arrimée la nouvelle conduite. L’extraction de l’ancienne conduite et la pose de la nouvelle sont ainsi réalisées simultanément.
Découpe de branchement Un outil de coupe est tiré par un câble dans l’ancien branchement et est suivi de la nouvelle canalisation. Utilisable pour des petits diamètres et des conduites de petite longueur en divers matériaux (plomb, PVC, PE).

Elles fonctionnent

  • Les entreprises et les bureaux d’études spécialisés maîtrisent les principales techniques
  • De nombreuses expériences ont permis de démontrer leur fiabilité
  • Les limites de chaque technique et leurs champs d’application sont connus
  • Les méthodes d’auscultation et la pathologie des ouvrages sont normalisés
  • Les diagnostics et préconisations de réhabilitation se sont affinés
  • Le progrès des techniques de reconnaissances ont permis de mieux concevoir les projets de pose en neuf (diminution des risques)
  • Les contrôles développés sur ces techniques ont démontré leurs capacités à atteindre les objectifs demandés.

Elles sont nombreuses

  • 43 types de reconnaissances et d’auscultations
  • 40 techniques de travaux sans tranchée
  • Galeries multi-réseaux
  • Réutilisation de conduites
  • Plus de 100 procédés ou matériels différents

Elles ont fait leurs preuves

  • Le tubage et le fonçage ont pratiquement toujours existé
  • Les fusées ont démarré en France en 1960 !
  • Les « pousses tubes » et les « forages à la tarière » ont plus de trente années d’existence en France
  • Le premier microtunnelier japonais date de 1948 ! et le premier chantier français a eu lieu en 1989,
  • Les premiers matériels de forage dirigé américains sont nés en 1975 ; ils sont apparus en 1985 en France ,
  • Les chemisages anglais datent de 1972 ; ils sont utilisés depuis plus de 25 ans en France ,
  • Les premiers robots multifonctions suisses sont arrivés en France en 1989

CONCLUSION : Les techniques sans tranchée ont toutes plus de 30 années de pratique en France!!

Elles présentent des garanties

  • La plupart des techniques sont normalisées ou certifiées ou ont fait l’objet d’expérimentation dans le cadre d’un Projet National
  • Presque toutes les techniques doivent faire et font l’objet d’un dimensionnement aux états limites
  • Les cahiers des charges types existent et imposent que les travaux de création ou de réhabilitation ‘continus’ de réseau d’assainissement, soit des ouvrages au sens de l’article 1792 du code civil, soient soumis à la responsabilité décennale légale définie à l’article 2270 du même code.
  • Les garanties de parfait achèvement (1 an) et de bon fonctionnement (2 ans) s’appliquent également à tous les travaux de rénovation.
  • Tous les travaux “continus” sans tranchée sont soumis a des opérations préalables à la réception et à des contrôles extérieurs à la chaîne de qualité des entreprises

Elles progressent

  • Les difficultés de site sont mieux appréhendées.
  • La maintenance du matériel est améliorée.
  • Les chantiers sont de plus en plus rapides.
  • Leurs limites d’application sont régulièrement repoussées.
  • De nouveaux Maîtres d’Ouvrages les utilisent.

Tous les deux ans, la FSTT rassemble les professionnels du monde du sans tranchée pour une grande manifestation de 2 jours avec conférences, tables rondes, expositions de matériels et matériaux, démonstrations live….

Foreuses, microtunneliers, systèmes de réhabilitations, de détection, d’éclatement, canalisations et autres robots d’inspection se donnent rendez-vous pour ce moment incontournable de la profession.

La FSTT, agréée organisme de formation professionnelle continue, a mis au point un programme de formations complet.
Standard ou à la carte, il permet de former quel que soit le niveau aux techniques sans tranchée.

Nos programmes s’adressent aux maîtres d’oeuvre, opérateurs de chantiers, ingénieurs de bureaux d’études, cadres, élèves ingénieurs.

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Vous avez besoin de réaliser l’auscultation ou le diagnostic de votre réseau, vous cherchez une entreprise de pose ou de réhabilitation de réseaux, vous souhaitez faire appel à un bureau d’étude spécialisé dans les techniques sans tranchée…

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Pourquoi les techniques sans tranchée

Les Techniques Sans tranchée, c’est la façon citoyenne de faire les travaux : un ensemble de solutions modernes et économiques qui minimisent les nuisances des chantiers.

Elus, responsables techniques, entrepreneurs, usagers, avec les Techniques Sans Tranchée, nous pouvons équiper nos villes, développer les réseaux souterrains (eau, gaz, électricité, assainissement, télécom…), tout en préservant notre environnement quotidien.

Les 10 bonnes raisons d’opter pour les Techniques Sans Tranchée

1 – Ménager le centre-ville

Les techniques sans tranchée ne perturbent ni la circulation des piétons et ni celle des véhicules en centre-ville et, de ce fait, évitent le mécontentement des usagers pris dans les embouteillages. Pendant la réalisation de travaux, les véhicules de secours et les transports en commun peuvent continuer à circuler, la longueur et la largeur des voies de circulation étant préservées.

2 – Maintenir l’activité locale

Les techniques sans tranchée préservent le libre accès aux commerces et évitent ainsi les répercutions négatives sur le chiffre d’affaires, sachant que les collectivités peuvent être pénalisées lorsqu’elles infligent des pertes anormales à leurs commerçants.

3 – Réduire de 80% le bilan carbone d’un chantier

En réduisant la durée des chantiers et en divisant par dix le volume des déblais et donc leur transport, les techniques sans tranchée permettent une réduction de 80% du bilan carbone.

Quand on excave une tranchée, la quantité de terre produite est considérable au regard de la section de la canalisation ou du câble enfouis. Considéré par la réglementation comme un déchet, ce déblai doit être évacué vers un lieu de stockage temporaire, éventuellement transformé pour être réutilisé, puis expédié vers un nouveau chantier, ce qui représente un coût global non négligeable.

4 – Assurer le transport des eaux

Les techniques sans tranchée permettent l’inspection, le diagnostic et la réhabilitation des canalisations d’eau enterrées par des procédés rapides et discrets. De ce fait, l’acheminement d’eau potable vers les bâtiments, celui des eaux de pluie et eaux usées vers les stations d’épuration, n’est perturbé que pour une très courte durée.

5 – Epargner le budget aménagement

Les techniques sans tranchée ne créent pas de dégradations de chaussée qui sont inévitablement causées par des travaux de tranchée. Quelles que soient les précautions prises, les réparations qui s’ensuivent fragilisent les revêtements et réduisent leur durée de vie.

6 – Conserver les ressources naturelles

Les techniques sans tranchée permettent de préserver les matériaux dits nobles. En effet, lors de l’excavation d’une tranchée, le volume extrait doit être généralement remplacé par des matériaux de qualité, au coût élevé, et qui se raréfient. On évite ainsi un gaspillage de richesses.

7 – Garantir la sécurité

Les techniques sans tranchée offrent plus de sécurité vis-à-vis des usagers et des ouvriers qu’une mise en œuvre « classique ». En effet, malgré les dispositifs de sécurité et la surveillance des chantiers, les tranchées profondes présentent davantage de risques d’accidents de travail. On comptabilise plus d’une dizaine de morts par an dans les travaux de tranchées. Il est par conséquent du devoir des élus et des entreprises d’y remédier.

8 – Préserver un air de qualité

Les techniques sans tranchée minimisent la pollution de l’air par les poussières, les gaz d’échappement des engins de chantier ou des véhicules pris dans les embouteillages à cause de travaux en surface.

9 – Réduire les nuisances sonores

Les techniques sans tranchée permettent de diviser par dix les nuisances attachées aux procédés bruyants. Notamment, elles limitent au strict nécessaire l’usage du marteau piqueur et d’autres engins de chantier sonores, et la réhabilitation des canalisations enterrées ne nécessite qu’exceptionnellement une excavation.

10 – Respecter les zones naturelles

Les techniques sans tranchée évitent d’endommager la flore et la faune, et de polluer l’eau circulant vers les nappes phréatiques. Les rivières et les réserves naturelles sont particulièrement sensibles aux travaux de tranchées qui bouleversent l’équilibre du milieu.

Pour La Collectivite Locale

1. Protection de l’environnement :

  • préservation des zones naturelles sensibles aux tranchées qui bouleversent l’équilibre du milieu
  • limitation des pollutions dues aux engins de chantiers et aux embouteillages
  • réduction des émissions de gaz à effet de serre
  • protection de l’eau et des matériaux nobles en limitant le gaspillage des ressources naturelles et l’extraction des carrières

2. Rapidité d’exécution des travaux.

Exemple pour une pose en ville de 100 m de canalisation de 63 mm depuis l’installation du chantier jusqu’au démontage :

  • temps avec ouverture de tranchée : 4 jours
  • temps sans ouverture de tranchée par forage dirigé : 2 jours

3. Faible emprise de chantier permettant la fluidité de la circulation, le stationnement, la circulation des véhicules de secours et les transports en commun

4. Accès aux commerces facilité (la jurisprudence peut pénaliser lourdement les collectivités qui infligent des pertes anormales à leurs commerçants)

5. Diminution des budgets d’aménagement pour la ville : les tranchées marquent les chaussées et accélèrent leur dégradation ce qui coute cher à la collectivité qui doit réparer et à terme refaire la chaussée

6. Maintien des aménagements récents en centre-ville (pavage, éclairage, espaces verts…)

Pour le maître d’ouvrage

  • Rapidité d’exécution des travaux : inspection, diagnostic et réparation des conduites par des procédés rapides et peu onéreux
  • Adaptés à des situations complexes : franchissement d’obstacles (voies ferrées, autoroutes, rivières, forêts…), milieu urbain, sous-sol encombré…
  • Réduction du coût global dans le temps et donc pérennité
  • Compétitivité des coûts dans de nombreux cas

Pour L’entreprise

  • Rapidité d’exécution des travaux qui ne mobilisent pas le personnel et le matériel
  • Réduction de la facture de combustible
  • Minimisation des déblais considérés comme déchets
  • Renforcement de la sécurité du personnel : moins de risque d’accidents de travail dûs aux tranchées
  • Opportunité de faire évoluer le personnel vers des métiers spécialisés

Pour Le Citoyen

  • Pas de ralentissement du commerce local : pas de tranchée qui gêne l’accès aux commerces
  • Faibles nuisances sonores (divisées par 10 par rapport aux techniques traditionnelles) en raison d’un usage très limité des marteaux-piqueurs et autres engins de chantier
  • Circulation fluide et stationnement possible en raison de la faible emprise de chantier
  • Peu de pollutions urbaines en raison de l’utilisation minimale des engins de chantier et des embouteillages évités
  • Davantage de sécurité face aux risques de chute des piétons dans une tranchée ou à la nécessité d’emprunter même temporairement la chaussée

Les techniques sans tranchée c’est :

  • un minimum de nuisances
  • un minimum de terrassement
  • un minimum d’engins
  • un minimum de déblais
  • un minimum de camions
  • un minimum de bruit
  • en un minimum de temps
Pose en ville de 100 m de canalisation de diamètre 63 mm
Avec ouverture de tranchée Sans ouverture de tranchée, par Forage Dirigé
Matériel Durée Matériel Durée
Installation du chantier

Signalisation

Découpe des enrobés

     1 jour Repérage des réseaux

Préparation du profil de forage

Réalisation des fouilles d’entrée et de sortie

1 jour
Ouverture de la tranchée

Evacuation des déblais en décharge

1 jour Forage pilote, alésage et tirage de la canalisation 1 jour
Pose d’un lit de sablon

Pose de la canalisation

Remblai de la tranchée

1 jour
Compactage de la tranchée

Réfection des enrobés

Démontage du chantier

1 jour
Total 4 jours Total 2 jours
Pose en ville de 100 m de canalisation de diamètre 63 mm
Avec ouverture de tranchée Sans ouverture de tranchée, par Forage Dirigé
Volume de déblais à déplacer : 120 m3   Volume de déblais à déplacer : 0,8m3
Pose de 100 m de canalisation de diamètre 500 mm à 2,5 m de profondeur
avec une décharge à 20 km
Avec tranchée Sans tranchée, par Microtunnelier
Déblais 420 m3 42 m3 avec les puits
Remblais  400 m3 22,4 m3
Rotations de camions 5 Tonnes 100  5
 Bilan carbone (Eq CO2)  4.49  0.22

Sans tranchée, la ville est plus belle

Le développement des villes conduit les élus à imposer aux habitants des travaux de toute nature : construction, réhabilitation et transformation de réseaux de toutes sortes.
Chaque élu local cherche à réduire la gène que toute décision d’aménagement de sa ville génère.

Les travaux sans tranchée sont une réponse efficace au respect des concitoyens.

La Charte de la Ville sans tranchée concourre à l’utilisation de ces techniques, parce qu’elles sont de nature à améliorer la tranquilité des riverains et mieux préserver l’environnement.

Elus, rejoignez les signataires de la Charte pour faire de votre ville une ville sans tranchée !

Contactez-nous

Travaux neufs et réhabilitation : le Sans Tranchée c’est mieux !

Ils sont unanimes sur les travaux sans tranchée. Et vous ?

Zoom sur quelques techniques phare du Sans Tranchée

Forage Horizontal Dirigé : le tour de la technique

Bien plus qu’une simple solution alternative aux chantiers ouverts, le forage dirigé s’offre un statut à part en matière de pose de canalisations

Rapidité d’exécution, respect de l’environnement, sécurité et sérénité pour les riverains : nous détaillons ses très nombreux avantages dans cet article complet, mais aussi son principe de mise en œuvre, les facteurs clés de succès d’un forage dirigé ainsi que les points d’attention à surveiller.

Lire l’article

La Charte du “Sans Tranchée” (FSTT)

Charte de Qualité des Réseaux d’Assainissement (ASTEE)

Charte de Qualité des réseaux d’Eau Potable (ASTEE)